Où en est-on en Suisse côté législation sur le divorce ?

En Suisse, tous les époux qui envisagent de divorcer peuvent le faire en réduisant au maximum les tensions psychologiques, relationnelles et émotionnelles d’un divorce « à l’ancienne », en optant pour la procédure simplifiée du « consentement mutuel ».

Cette façon de divorcer est si bien cadrée, que le divorce peut être obtenu en deux ou trois mois (maximum 5 si la démarche a été faite auprès d’un tribunal surchargé) pour un coût parfois très réduit puisqu’il est possible de le faire sans recourir à un avocat (cas d’un peu moins d’un divorce sur trois).

Le consentement mutuel est la meilleure option, c’est certain !

Cette manière de faire est l’idéal y inclut – et peut-être surtout !-  si l’on a des enfants. Elle exige cependant des époux qu’ils trouvent eux-mêmes leurs terrains d’entente en ce qui concerne leur vie après le divorce. Cela va de la répartition des biens (y inclut de l’attribution du domicile familial ou conjugal) à la question de l’autorité parentale et de la garde des enfants, en passant par celle des pensions. Plus sur le site pionnier du divorce en ligne : https://divorce.ch/ !

Combien coute un divorce suisse ? Tout dépend de la procédure adoptée
Source : www.divorce.ch

Que se passe-t-il si un époux refuse le consentement mutuel ?

Il arrive que la procédure classique s’impose, par exemple si les enjeux patrimoniaux sont énormes, ou si l’un des deux membres du couple refuse le divorce. En ce cas, que ce soit pour un divorce à Vaud, à Genève ou ailleurs, il faut se séparer pendant deux ans, et faire appel aux services d’un avocat.